Le Garde-mots - Tag - Choléra - CommentairesJ'ai un garde-mots comme d'autres ont un garde-manger. Pour les mots et le fromage c'est mieux qu'un réfrigérateur.
Les nouveaux billets sont affichés le lundi et le vendredi.2020-06-09T07:04:39+02:00Alain Horvilleururn:md5:1027DotclearVibrion - mnesiqueurn:md5:9183ed4df4016189a620e119f81b74bf2008-06-07T22:02:08+02:00mnesique<p>Mes remerciements rejoignent ceux de Traces.<br />
Au delà de la fiction un réalité.</p>Vibrion - tracesurn:md5:3eff43cd5c02dde77b1138dc5065cf932008-06-07T20:49:05+02:00traces<p>Merci pour ce témoignage sur l'homme qui plantait des arbres.</p>Vibrion - hi3urn:md5:9e308dd0075e21058d08a7854b5130642005-10-06T01:14:10+00:00hi3<p>Oh, que c'est beau. Merci, Gardien. J'adore "écouter le vent se frayer un
chemin à travers les feuilles", ces mots sont tellement proches de ce que l'on
vit dans ces moments-là...</p>Vibrion - stéphaneurn:md5:6e5abc8901566b1601d5a200db17c3972005-10-06T00:29:19+00:00stéphane<p>je n'ai pas vu le film mais lu le livre que je relirai bien à
présent...<br />
j'ai aimé ce livre...</p>Vibrion - Le garde-motsurn:md5:f21251dce9b88d9b5539b3407ec4f3242005-10-06T00:28:45+00:00Le garde-mots<p>Leçon de vie d'autant plus extraordinaire que <em>Giono plantait des arbres !</em> Un ami allemand qui a bien connu Giono entre 1960 et 1965 m'écrit: "Avec Giono - quel temps merveilleux - on allait rencontrer ses amis de Manosque, des gens simples, adorables, peu intellectuels mais d'une sagesse "crue" et fascinante. On a très peu parlé de ses livres, sauf des "Eaux vivantes". Avec son sang brûlant Giono parlait surtout des arbres et du "Centre atomique" qu'on proposait d'installer dans les forêts de Manosque. Alors on plantait des arbres partout, Giono dépensait tout son argent pour acheter du terrain et y planter des arbres. Et à la fin nous écoutions le vent se frayer un chemin à travers les feuilles."<br />
</p>Vibrion - hi3urn:md5:ebecff989518dba65070f18ec0f05adc2005-10-06T00:00:40+00:00hi3<p>Le Hussard sur le toit, quel livre ! Je l'ai lu bien avant d'habiter pas
bien loin des lieux que Giono décrit, et c'est un jour en me promenant du côté
de Manosque que j'ai eu comme un flash, des scènes, des passages entiers du
livre qui revenaient à ma mémoire. Et je n'ai jamais osé allé voir le film,
craignant d'altérer ce paysage intérieur que le livre a mis en moi, mon film
personnel, en quelque sorte.<br />
<br />
Je digresse (pardon, mais...) :<br />
J'en profite pour citer un autre texte de Jean Giono admirablement adapté au
cinéma, en dessin, par Frédéric Back : "L'Homme qui plantait des arbres". C'est
Philippe Noiret qui raconte l'histoire, dans ce moyen métrage (ça se dit ?)
d'animation qui raconte comment un homme que la vie n'a pas épargné a changé le
monde, à son échelle. Une formidable leçon de vie et d'espoir.</p>Vibrion - lucie Fer de Lensurn:md5:034a436a3b9163fd7a3286d5d3aa1b8d2005-10-05T23:47:24+00:00lucie Fer de Lens<p>c'est une vraie peste ce microbe ...</p>