L'une est la vie
L’autre brise l'éternité

L’une est le philosophe qui chante des merveilles
L'autre est la mort

L'une a le droit d'être impossible
L'autre celui de faire peur

Chacune est la sœur de l'autre
Chaque autre est la rivale de l'une

Et l'homme pleure de solitude
En entrant dans leur ronde sans fin