On trouve de l’alacrité chez les bonobos, Bugs Bunny, Charlie Chaplin, les clowns, Kamini, le peuple de l'Herbe, Offenbach, les gardons, Till l’Espiègle ; dans les bulles du champagne, les ruches, l’ouverture de La Cavalerie légère, les dessins de Dubout, les sketches de Florence Foresti, la danse des canards, les chansons de marins, le munster revisité par les asticots, les czardas, le répertoire de Bobby Lapointe, le sirtaki, Y'a d'la joie (de Charles Trenet), les bancs de maquereaux, le candomblé, la prose de Rabelais et de son disciple Frédéric Dard, le jazz, les pois sauteurs, les films de Roberto Benigni, Le Vol du Bourdon, les bouillons de culture, les rues de Shangai, les nuées de sauterelles, les gif animés, les mondes imaginaires, la cornemuse andalouse, les ordinateurs biologiques, les moustaches du diable, le venin de commères, les défilés de mode chez les musaraignes, les salons de massage intergalactiques, les quarks autorégénérés, le silence des rêves.
[Pour Amandinette]