Avec le cinq-cent millième clic, qui s'est
produit dimanche 18 mars, j'ai atteint l'objectif que je m'étais fixé. Je peux
donc me retirer de la blogosphère. A l'évidence la langue française continuera
sans moi, je me demande même comment j'ai pu prendre sa défense. Elle est en
danger, certes, mais qui suis-je pour oser prêcher sa résurrection ? Bien sûr,
ce n'était pas dans le désert, les visiteurs du Garde-mots, mes amis, en sont
témoins. Merci à toutes celles et à tous ceux qui m'ont suivi dans cette
aventure. Je laisse le blog ouvert mais les commentaires seront irrévocablement
fermés ce soir à minuit.
Le
gardien.
Les personnes qui le souhaitent pourront
rester en contact avec moi. Pour savoir comment, passez votre pointeur
ci-dessus sur "Le gardien".
[PS du 4/4/07, destiné à ceux qui liront ce billet après coup : remarquez la
date, nous étions le 1er avril. Votre pointeur vous le confirmera]
Commentaires
Même le capitaine Haddock, vieux loup de mer, serait resté muet comme une carpe devant cette sardine qui bouche le port, à moins qu'il y ait anguille sous roche ?
Piiioufffff ! Quelle émotion. J'ai malheureusement pour moi toujours assimilé, les mots, les conversations, naïvement au premier degré et cela m'a valu plusieurs anecdotes amusantes voir désagréables. A l'instant, je suis resté pétrifié quelques secondes, mais j'ai vite retrouvé le sourire... Preuve que je m'améliore dans le décodage ! Alain, ce n'est pas gentil comme frayeur. Amicalement, à bientôt. xuan-lay
c'est une triste nouvelle pour beaucoup d'entre nous.je me souviens de tes débuts chez tooblog. tu as montré que les blogs pouvaient être un bel outil de partage et aussi d'amusement Je souhaite que .... oups
A moins que ... :-)
à la pêche aux mots, les mots, les mots,
je ne veux plus y aller, maint'nant
Les gens de la vile maman,
Ont pris mon dico savant
J'ai bien vu arriver le poisson, mais je suis allé quand même pointer comme tout le monde, histoire de me rassurer...Cinq-cent millième clic, d'accord, mais pas encore les "Trente mille jours".Ouf! Il y a de la marge,et mon ordinateur n'ira pas à la casse.Mais maudits soient les dits de l'édit de Rousillon par Charles (le petit), qui serait,paraît-il, à l'origine des canulars du 1er avril.
8200 mots rares en réserve, trésor caché, un R.V.vers le 23 avril,un homme de mots est un homme de parole...
le poisson est scintillant,et vive le plaisir de vagabonder dans les dédales du blog!!!
Oui, tu as raison, garde, il faut savoir s'arrêter. D'ailleurs moi aussi j'arrête. Sabordons-nous donc de conserve histoire de noyer le poisson sans hausser le thon.
J'en revenais pas, je n'ai pas du tout pensé à un poisson d'avril et suis rassurée en lisant les commentaires: peut-être cela est-il une simple farce ? Je l'espère en tout cas, je viens tout juste de découvrir ce garde-mots et serais bien attristée qu'il se ferme déjà.
Bonne continuation !
M.
Pas trop tot ! Ouf !
Sage décision. Par solidarité, je fais le voeu d'écrire mon dernier billet dès que j'arrive, comme toi, à mon cinq-cent millième clic.
Rendez-vous donc au 1er avril 2017 !!!
OUUUUUUUUUUUUUUUUUUFFFFFFFFFFFFFF
Heureusement que j'ai regardé les commentaires, j'y croyais moi !
Non mais ça va pas ?
Ça va très bien merci. Ce qui m'amuse c'est que certain(e)s ne vont pas lire la deuxième partie de mon billet et croire que je quitte vraiment la blogosphère. D'accord, je risque de perdre des clics, mais comme disait Coluche "je me maaaaarrre...."
Et moi c'est pas un poisson,après des des mois de no comments,j'en fait un en ce moment,en espérant pouvoir passer plus fréquemment...!
Salut Maître mots.
Ah...............................
Alors là, je ris vraiment aux éclats!!
J'en ai mis un temps! Non pas à comprendre la blague Le choc n'a duré chez moi qu'une demi-seconde (y a un mot pour demi-seconde?)Le difficile fut de résoudre cette énigme :
"Les personnes qui le souhaitent pourront rester en contact avec moi. Pour savoir comment, passez votre
pointeur ci-dessus sur "Le gardien"."
Combien de fois j'ai cliqué sur le mot! Ma posture de lecture avait complètement verrouillé cette astuce là. Ou bien, ou bien, y en a encore une autre... Voilà le doute qui revient tout à coup. Rire