« Photographe » était le nom de l’aide-bourreau chargé de maintenir correctement la tête du condamné à mort dans la guillotine au moment où le couperet faisait son œuvre, de la retenir pour l’empêcher de tomber puis, le moment venu, de la jeter dans la corbeille prévue à cet effet. L’un des derniers photographes s’appelait Fernand Meyssonier. Il a publié ses mémoires en 2002 sous le titre Paroles de bourreau.