Le succès actuel de ce néologisme tient sans doute à ce qu'on pourrait le prendre pour un mot-valise.  Il laisse affleurer, en quelque sorte, "le gaullisme de  Ségolène", ce qui n'est pas complètement faux :  la candidate à la candidature socialiste à la présidence de la République ne fait-elle pas les yeux doux à certains électeurs susceptibles de voter pour Nicolas Sarkozy ? En tout cas il s'agit d'un mot à suivre et qui a plus de chance de lui aller que royalisme.