Le clone triste
Par le gardien le vendredi 10 décembre 2010, 00:00 - Versimots - Lien permanent
Vingt ans plus tard j'avais un jumeau
Et c'était moi
En instance de vérité
En plus heureux
En plus cynique
Sans visage ni récit
Avec une ombre
De sentiment
La pilule était amère
Puisque malgré mon regard
Et ma vie rêvée
Mon frère s'appelait miroir
Commentaires
Et voilà!
C'est tout à fait ça.
Votre commentaire sur l'ambivalence me plaît beaucoup. Remarquez, c'est la moindre des choses quand on parle d'un miroir !
l'ambiguïté me sied, c'est mon incompétence.
Un bon reste à vous,que de nombreuses décades si joignent.
je vous embrasse, sûrement vous le méritez
Merci. L'ambivalence est ambiguë mais l'ambiguïté n'est pas obligatoirement ambivalente.
Votre dernier message m'a fait spontanément penser à ces petites digressions "sosie" au vol !
"Le fonctionnement des neurones miroirs qui permettent d'attribuer des intentions à autrui serait anormal chez les personnes autistes. Cela représentera-t-il une nouvelle voie pour diagnostiquer et prendre en charge cette maladie ?"
"À première vue, vous pourriez ne rien remarquer d'anormal lorsque vous rencontrez un petit garçon autiste. Mais si vous essayez de lui parler, vous réaliserez rapidement que quelque chose ne va pas. Il est vraisemblable qu'il ne vous regardera jamais dans les yeux ; sans doute évitera-t-il votre regard et s'agitera-t-il, se balançant d'avant en arrière. Peut-être même se tapera-t-il la tête contre le mur. Plus déconcertant encore, il sera incapable de mener une ébauche de conversation. Bien qu'il soit capable de ressentir des émotions comme la peur, la rage ou le plaisir, il est incapable de réelle empathie (la faculté de ressentir ce qu'autrui ressent) et il est indifférent aux indices sociaux que la plupart des enfants perçoivent spontanément."
Miroir, mon beau miroir qui est la plus belle en ce pays de "coquines ? " (Cocagne)
"Les anamorphoses à miroir permettent grâce à l'interposition d'un miroir cylindrique ou conique de faire apparaître une image qui est la réflexion d'une image déformée conçue à cet effet. L'image déformée est peinte sur une surface plane autour d'un emplacement prévu du miroir ; ce n'est qu'en y installant le miroir que l'image apparaît non déformée sur la surface de celui-ci. Répandu au XVIIe siècle et XVIIIe siècle, ce procédé d'anamorphose a permis de diffuser caricatures, scènes érotiques et scatologiques, scènes de sorcellerie et grotesques qui se révélaient pour un public confidentiel lorsque le miroir était positionné sur la peinture."
Mais non, notre visage n'est pas une déformation du réel. A coup sûr, il est un reflet de l'irréel ou de l'intangible (notre moi intime).
L'anamorphose la plus connue est celle qui se trouve dans "Les Ambassadeurs" d'Holbein.
On ne peut pas parler de ce tableau sans Vanité.
"Chair(e)" Gardien "démo" "d'airain" ( des reins )
Par delà le "réductionnisme" bio-chimique "ambiance" de tout phénomène "manteau" auquel j'abandonne par ailleurs une inconditionnelle adhésion intellectuelle , j'aimerais vous faire "départ" de mon "éprouvé" à partir de ma propre spécificité psycho-sensorielle et affective sous la forme de "re-cette" phrase cautionnée par votre "self-viteur" : " Il ne nous est pas possible de déterminer ce qui est en la puissance du corps, c'est à dire ce qui peut sortir du fond de la simple corporéité, par les forces et les seules lois de la nature "
Je me souviens d'un célèbre "neuro-scientifique" qui affirmait que par-delà les "injonctions" sous-jacentes voire préconscientes de la réalité bio-chimique il y avait un "mystère" de conscience irréductible à l'approche rationnelle de tout phénomène objectif et ce mystère s'appelait la Qualia, l'impression particulière et innomable que tel phénomène induit ou infère sur notre sensibilité.
Miroir, "reflet"-moi en "corps" le coup du "sort-dide!"
Vous êtes donc en accord avec Descartes et Julien Offray de La Mettrie et leur homme-machine.
Malgré la présence du crâne, je n'appellerai pas le tableau de Holbein une "vanitas." C'est plutôt un portrait de deux hommes qui se veulent vus comme hommes de la Renaissance avec tous leurs attributs d'érudits. Mais nous ne sommes pas ici pour parler art mais verbe....
"Il ne suffit pas à un sage d’étudier la Nature et la Vérité, il doit oser la dire en faveur du petit nombre de ceux qui veulent et peuvent penser ; car pour les autres, qui sont volontairement esclaves des préjugés, il ne leur est pas plus possible d’atteindre la Vérité qu’aux grenouilles - de bénitier - de voler." ( L'Homme Machine, Julien Offray de la Mettrie )
Non, je "n'essuie" pas homme "mâcheur" ou machine réduit à sa réalité neuronale mais l'homme "transsudant" à cor et à cri à la lumière de son effrontement contestataire !
Cela "étang" dit ( oû coassent à l'envi les batraciens de tout poil ) et sans s'étendre "outre" mesure sur l'écume des sourds, mes propos sus-dits en forme de réponses improvisées à votre "comment'erre" pertinent est sans nul doute peu de choses pour une personne comme vous, pétri(e) de culture - vous me "lavez" de "l'athlète au pied" précisé dans un "pressé dents mais sage" amical que j'aurais eu tort de jeter aux oubliettes...
Que recouvre pour vous significativement le vocable en forme de syntagme, "Homme-Machine" ?
Sauf à vous obliger humblement, "reflète-moi" à dessein à défaut d'être "saint-exubérant", façon détournée de vous inviter à me faire profiter - avec bonheur - de tout ce que vous savez !
J'ai faim de savoir(s), passionnément !!!
e21. Tout le monde dit que c'est une vanité, même le Larousse.
Devalmont. Nous sommes plus que la somme de nos molécules. Il y a en nous quelque chose qui nous dépasse, c'est ce qu'on nomme la transcendance.
Ah bien si tout le monde le dit... Néanmoins, et pardon de donner la définition en anglais: vanitas - Latin for vanity, refers to a type of STILL LIFE (nature morte) consisting of a collection of objects that symbolize death — the brevity of human life and the transience of earthly pleasures and achievements (e.g., a human skull, a mirror, and broken pottery).
Such paintings were particularly popular in the sixteenth and seventeenth centuries, especially in the Netherlands.
Je ne nie pas que le crâne des Ambassadeurs soit le symbole de la vanité du monde.... mais vous verrez aussi dans des Annonciations flamandes des bougies à moitié consumées, et ce ne sont pas des vanités. Revenons plutôt à votre énigme du jour.
Je traduis, pour les non anglophones.
Vanité. Du latin vanitas, vanité. Il fait référence à un type particulier de nature morte consistant en une collection d'objets qui symbolisent la mort - la brièveté de la vie humaine, le caractère transitoire des plaisirs et accomplissements terrestres (c'est-à-dire : un crâne humain, un miroir et une poterie brisée). Ce type de peinture était très populaire aux XVIe et XVIIe siècles, particulièrement aux Pays-bas.
"En transe et sans dents" voué au " mon dentier"...
"J'ai longtemps rêvé de vous parler chérie bien avant de vous connaître, je vous avais vue brillante au fond des nuits de tout mes rêves champêtres...oû dans la campagne comme aujourd'hui, oui... mais j'ai perdu la tête..." ( "l'aversion" de Trenet "ar-rimé" à Brassens )
"Transe en danse" quand tu nous tiens !
Pour ce soir et pour le "vulgomme-pécu(s)" intervenant intempestivement, je pense que "salsifis" amplement !
père
papa toi mon père tu ma sauver des griffe de ma mère tu saura toujours mon père de de dent de cœur
tu ma fait tu ma aimer tu a été la les jour fort et pas fort je t aime grâce a ton courage et ta volonté toi qui ma aime qui ma élevé tu et le père des rêve jeune.
tu viens ente mes rêve les plus profond et tu ante ma vie a son tour chaque jour.
tu mède chaque jour que je passe prés de toi .
même si il fait chaud ou froid tu et la et tu me protégé chaque seconde
Tout le monde peut comprendre que cette supplique ne s'adresse pas à moi.