Je veux faire connaître un de mes billets sur votre blog. Je décide donc, sans vous demander votre avis, d'y afficher un rétrolien. Après avoir lu le début de mon billet vos visiteurs pourront cliquer sur l'adresse et aller directement sur mon blog découvrir le reste. C’est une excellente façon d'augmenter ma visibilité dans la blogosphère. Pour la réalisation pratique, il peut y avoir des variantes d'un système de blog à l'autre. Dans la plupart des cas, je dois aller chercher sur le blog destinataire l'adresse spéciale "rétrolien", revenir sur mon blog et la copier dans l'espace réservé à cet effet sur le billet que je désire mettre en avant. J'utilise la première personne pour que mon texte soit plus explicite mais, pour l'instant, il n'est pas possible de faire un rétrolien sur le Garde-mots. En effet, à chaque fois que j'ai essayé, j'ai eu immédiatement du spam. Ceci s'explique par le fait qu'un rétrolien est placé tout en haut, avant les commentaires, et qu'il est ainsi visible par un maximum de visiteurs. Cette technique est tentante pour les voyous de l'Internet.

A ce propos, le triste record appartient à un australien qui, à lui tout seul, est à l'origine de deux milliards de spams. A l'annonce d'une telle aberration il paraît urgent d'adopter définitivement le néologisme pourriel.

[Le gardien prie la personne qui lui a demandé un billet sur les rétroliens de se faire connaître
car il a oublié de noter son nom et ne peut ainsi la citer.
Ce sera chose faite si elle se manifeste.]