Épicentre d'une histoire défunte. Mystère.
Insistance. Détermination. Quelques traits et nous savons que le silence est
habité.
[Pour une rétrospective des œuvres de
Jacques Oudot
figurant sur le Garde-mots cliquez sur le tableau.]
Commentaires
1.
Le vendredi 3 octobre 2008, 13:29 par Blechtrommel
Si je la vois debout, et si elle veut me faire comprendre quelque chose, je
dois me rendre à l'évidence que je n'ai pas le choix: je ne pourrai gagner dans
un refus ou une opposition. Mais si je l'imagine allongée dans ses draps bleus,
son regard est tout autre et ses traits adoucis: à la fois lucide, rêveuse,
mélancolique, trop désabusée pour être déçue.
Donc en ce moment je la regarde à tour de rôle debout ou couchée et cela me
donne un peu le vertige car il faut beaucoup d'agilité. Mais surtout elle agit
comme un miroir qui reflèterait la vulnérabilité de mes humeurs. Ce n'est plus
la toile que je regarde mais le reflet de moi-même que j'y trouve: je ne vois
plus la même chose selon ma couleur mentale du moment.
Je n'aurais peut-êrte pas dû manger ce plat de champignons hier soir...
2.
Le vendredi 10 octobre 2008, 11:49 par Blechtrommel
VerOO: ne me tutoie pas qui veut. Mon commentaire parle du pouvoir magique
d'interrogation de la peinture de Jacques Oudot et pas d'autre chose. Votre
réaction est bien dans la ligne de toutes vos intervention: hors de propos et
quelque peu délirantes...
Le Dictionnaire des mots rares et savoureux et la vie d'Alain Horvilleur seront le thème de l'émission ''Des Livres et vous' Présentée par Laetitia de Traversay
Le Jeudi 24 Avril 2015 à 11h45
Commentaires
Si je la vois debout, et si elle veut me faire comprendre quelque chose, je dois me rendre à l'évidence que je n'ai pas le choix: je ne pourrai gagner dans un refus ou une opposition. Mais si je l'imagine allongée dans ses draps bleus, son regard est tout autre et ses traits adoucis: à la fois lucide, rêveuse, mélancolique, trop désabusée pour être déçue.
Donc en ce moment je la regarde à tour de rôle debout ou couchée et cela me donne un peu le vertige car il faut beaucoup d'agilité. Mais surtout elle agit comme un miroir qui reflèterait la vulnérabilité de mes humeurs. Ce n'est plus la toile que je regarde mais le reflet de moi-même que j'y trouve: je ne vois plus la même chose selon ma couleur mentale du moment.
Je n'aurais peut-êrte pas dû manger ce plat de champignons hier soir...
VerOO: ne me tutoie pas qui veut. Mon commentaire parle du pouvoir magique d'interrogation de la peinture de Jacques Oudot et pas d'autre chose. Votre réaction est bien dans la ligne de toutes vos intervention: hors de propos et quelque peu délirantes...