Imprimatur
Par le gardien le jeudi 23 février 2006, 00:00 - Singumots - Lien permanent
Traditionnellement, en France, cette autorisation était accordée par un évêque ou le recteur d’une Université, laquelle avait le pouvoir d’exercer une censure religieuse sur les publications de ses professeurs. L’imprimatur garantissait que l’ouvrage (notamment s’il portait sur la philosophie, la théologie, la spiritualité, la morale ou l'histoire religieuse) ne contenait aucune mention contraire à la foi.
La pratique est ancienne mais le mot a été substantivé pour la première fois par Prosper Mérimée en 1844.
Commentaires
Je préfère "imprimeur" parce que l'église ne s'en mêle pas ( ou pas trop) . Imprimatur c'est plus dur
J'appose mon imprimatur à ce billet.
En reculant dans le temps, on se rend compte que certains ne suscitent pas la passion ... surtout celui-ci