Traditionnellement, en France, cette autorisation était accordée par un évêque ou le recteur d’une Université, laquelle avait le pouvoir d’exercer une censure religieuse sur les publications de ses professeurs. L’imprimatur garantissait que l’ouvrage (notamment s’il portait sur la philosophie, la théologie, la spiritualité, la morale ou l'histoire religieuse) ne contenait aucune mention contraire à la foi.

La pratique est ancienne mais le mot a été substantivé pour la première fois par Prosper Mérimée en 1844.


[demandé par Bala]