Le syndrome de Stendhal peut survenir dans d'autres régions du monde sous des noms variables. C’est ainsi qu’on parle de :

Syndrome de Jérusalem, déclenché par le sentiment religieux, l'émotion de se trouver dans une ville sainte.

Syndrome de Paris, qui touche plus particulièrement les touristes japonais déstabilisés par le fossé culturel entre la France et le Japon, et ayant une vision idéalisée de « la plus belle ville du monde ».

Syndrome indien. Il se manifeste chez les touristes confrontés à la pauvreté du pays, à l’omniprésence de la mort et au mysticisme ambiant.

Syndrome de Tahiti. Ici c'est le mythe du bout du monde, de l’île paradisiaque, qui déclenche les symptômes.

Ces divers accès, facilités par le décalage horaire, sont regroupés sous le nom de syndrome du voyageur, qu'il ne faut pas confondre avec le voyage pathologique. Dans ce cas le délire du patient résulte d'une pathologie psychiatrique préexistante qui se décompense sous la forme d'une impulsion à voyager.