Je vous souhaite...
Par le gardien le vendredi 24 décembre 2010, 00:00 - Gardimots - Lien permanent
...un Noël de grâce, de paix et de
joie.
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« Pédiluve - Simonetta Vespucci »
Par le gardien le vendredi 24 décembre 2010, 00:00 - Gardimots - Lien permanent
...un Noël de grâce, de paix et de
joie.
Chaque lundi et chaque vendredi un mot nouveau en rapport avec l'actualité, la langue française, l'humeur du gardien …
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Commentaires
En parlant des « missions périlleuses », n'y a pas l'une plus grande que célébrer l'odyssée du Noel en famille ( spécialement quand toute la famille vient chez moi). Nous avons tant d'histoires de Noël pour raconter, que l'on pourrait écrire un livre.
Joyeux Noël pour vous, pour votre jolie épouse et pour tous les amis de notre chèr blog !!
PS : Olala! Je finissais de lire « pediluve et j´etais en train d'écrire mon commentaire, quand Legarde Klaus est apparu dans l´ecran avec son, dejà fameux, bonnet rouge. Je ne peux pas croire la vitesse avec laquelle s´a passé l'année. Il semble hier quand je l'ai vu dans l'écran pour la première fois.
La vie vole !!!
Une forte "abrazo navideño" pour tous!!! Ana
Bonjour Gardien,
En surfant vaguement ou "épeire-dument" sur la Toile "à régner", je nous ai rapporté cette perle de rosée matutinale en forme d'offrande propitiatoire que je me permets de déposer "prématuré-ment" et opportument au pied de votre vénérable "abies" !
"Noël est la Fête de la Nativité du Christ. Un jour, sous le règne de César-Auguste, peu après le solstice d’hiver, Dieu, le Créateur de l'univers, s’incarna, se fit chair humaine, chair d’enfant d’abord comme le veut la nature. Le Tout Puissant devint le Tout Fragile. Cette association de la force qui tient l’univers et de la faiblesse du nouveau-né est dans l’histoire un fait unique, dont on sous-estime l’importance. Ce jour-là, dit Chesterton, «l’univers s’est retourné comme un gant.»
«Tout agnostique ou athée dont l’enfance a connu une véritable nuit de Noël voit toujours par la suite, qu’il le veuille ou non, un lien dans sa mémoire entre ces deux idées que la plupart des hommes considèrent naturellement comme contradictoires: l’idée d’un nouveau-né et l’idée d’une force inconnue qui soutient l’univers. L’instinct et l’imagination de celui qui fut chrétien peuvent encore les relier, alors que sa raison ne voit plus la nécessité de la relation; il y aura toujours pour lui quelque chose de religieux dans la simple image d’une mère portant son enfant, — une certaine évocation de clémence et d’attendrissement à la seule mention du nom terrible de Dieu. Pourtant ces deux idées n’ont aucune connexité naturelle ou nécessaire; elles ne seraient pas forcément associées pour un ancien Grec ni pour un Chinois, s’agit-il d’Aristote ou de Confucius; il n’est pas plus naturel de relier Dieu à un petit enfant que d’associer la gravitation à un petit chat. Cette association d’idées a profondément modifié la nature humaine. Il existe une différence réelle entre l’homme qui la connaît et l’homme qui ne la connaît pas. "
Sympa non, comme forme d'interprétation signée de Chesterton, l'impertinent Chesterton !
C'est la vieille tradition hermétique : ce qui est en haut est comme ce qui est en bas. Ici ce qui est fort est comme ce qui est faible, etc. C'est bien connu : tout est dans tout réciproquement.
Merci et Joyeux Noël à tous et toutes.
Ce soir mettez un pédiluve devant la cheminée pour que le père Noêl ne mette pas de suie sur le tapis!
Bonnes et heureuses fêtes à vous tous.
Merci mes ami(e)s. Que de vœux en ce moment ! C'est une bonne chaleur.
En cette défunte année, "l'imper" Noël est "thune" valeur sûre ou sure dans "l'essence" ( le sens) à peine bien senti "d'acid'adulé"(acidulé) à l'instar de la bise aigre et ces autres corneilles poussives...c'est de saison, dehors chez moi aujourd'hui, les pâturages environnants sont "tapis" de neige, jour de Noël, ça tombe bien... Cette phrase alambiquée donc, pourtant bien chantournée pourrait illustrer de façon évidente et au plus grand nombre d'entre nous le caractère de ce qui est difficile à comprendre propre à l'hermétisme, mot Bien à propos accolé par vous à mon "comment'erre" sur le "repaire" NoËL du jour !
Cette "conne-notation" exprimée par moi, provoquée par vous et par connexité "talent" (allant) de soi me fait spontanément penser à cette sentence de Boileau, évidemment pas ignorée par vous, huissier patenté du monde lexical, lecteur endurci, "capara-sonné" jusqu'à l'ivresse par des heures "incommen-mesurables" abandonnées à la vie "élucubrée", romancée par les autres : "Ce qui se "qu'on soit" bien, "c'est nonce" chastement heu! pardon, "clair-aimant" et les "maux" pour le dire vous viennent..."taiseusement" ou explicitement !
Je suis le "peintre" intempestif armé d'un pinceau fin et qui en rajoute opportunément une couche par déformation professionnelle. Parmi les nombreux symboles de l'amitié "empaquetant", environnant le jour de Noël, il y a les baisers à bouche que veux-tu indéxés sur la prévalence érotico-sensuelle de chacun de nous :
"Les baisers précédèrent la venue de Jésus, bien sûr! Mais ils prennent de l'importance. Les baisers représentent le rapprochement par excellence entre les êtres. En Amérique, de moins en moins mais encore, ils se donnent sur la bouche, même entre amis. Les baisers vont à la source de l'expression de la vie: le souffle, la parole, le lieu par lequel on se nourrit. Ils signifient une grande proximité. Sait-on que le mot "adoration" signifie "aller jusqu'à la bouche de Dieu", pour le toucher et en recevoir la vie."
On dirait bien que le jour du sapin "enguirlandé" voué aux "émoustillements" crétins, heu!, pardon aux fumées chrétiennes m'a fait oublier la réalité informationnelle suivante à savoir que le sapin de Noël provient de la combinaison de deux symboles dont, au Moyen Age, les chrétiens ornaient leurs maisons, peu avant la Nativité. En premier lieu, il y avait L'ARBRE DU PARADIS, un sapin garni de pommes, en souvenir d'Adam et Ève au paradis terrestre. Il y avait aussi LA PYRAMIDE DE NOËL, sorte de poteau orné de verdure et de boules de verre colorées. Au sommet de ce mât était fixée une bougie, symbolisant l'astre d'Orient. Le sapin étant lui-même une belle pyramide vivante et naturelle, on se mit peu à peu à transférer toute décoration au sapin: boules et pommes. Mais c'est plus tard que la crèche prit place au pied de l'arbre.
Cet arbre rappelle que le Christ, nouvel Arbre de vie, est aussi le "Nouvel Adam" venu apporter la vie au monde. En plus d'être le symbole de l'espérance, la verdure est symbole d'éternité. C'est la vie qui dure par-delà les saisons"
Merci Monsieur le Gardien de faire "appar'être" dans leur intégralité l'ensemble de mes mots "pompés" et improvisés, sachez que je vous en "suie" cordialement gré quoique, en vérité pour moi vous "net" qu'un sauf-conduit "fuligineux"...( non, on ne se perd pas, cher Gardien, avec fuligineux, nous tenons là une conduite circonscrite à l'espace d'une cheminée que tout "opère" Noël guigne à l'envi) par lequel j'entends faire s'écouler ma "voie" audible et "subli-minable" et en "cas d'eau", ne vous inquiétez pas, j'essuierai les "plâtres-bandes" !
En vénerie, vous savez que le cerf se rembûche pour mieux se "reposée"...en psychologie du comportement on raconte qu'à l'avènement du 24 décembre, la plupart des gens rétribués comme il se doit se rendent sans résister et avec appétence aux agapes et à la sacro-sainte Bûche "défunte" de repas. On "n'essaie" peut-être pas ce que cette délicieuse "paragénèse" "dénaturée" contient en matière de résonance...symbolique :
"Vers le haut Moyen Age, en Europe, une grosse bûche était choisie avec soin et portée à la maison en grande cérémonie parmi les préparatifs de Noël. Elle devait être brûlée dans l'âtre pendant la sainte saison. Comme pour la bougie, elle invite au rassemblement autour de l'âtre, pour une expérience intérieure et pour l'intimité. Il importe que la lumière habite d'abord le coeur humain. À la dimension de la lumière qui s'intensifie s'ajoutent ici la dimension de la chaleur.
Les morceaux non brûlés de la bûche étaient mis de côté et conservés, parce que la nouvelle bûche de l'année suivante devait être allumée avec du bois de l'ancienne, en une merveilleuse continuité. Quant aux cendres, on les recueillait soigneusement et, à la Chandeleur, les fermiers devaient les répandre sur les champs pour en assurer la fécondité.
Quand on déguste une bûche de Noël en chocolat, on devrait savoir qu'elle représente toute la joie et l'intimité qu'apporte la période des Fêtes, soit du début de décembre (l'Avent) au début de février (la chandeleur ou présentation de Jésus au Temple)."
"A toutes les coupes" l'on gagne avec le Champagne, l'authentique, né de la champagne crayeuse, "fête" des bulles assurément, des petites pour les meilleurs et des grosses pour les imitations de tout poil !
Quoi qu'il en soit,pour ce soir et quelque soit votre choix, "Abusus non tollit usum" ( l'abus n'exclut pas l'usage)
"Soyeux" Noël !
Permettez-moi de vous souhaitez un Joyeux Noël!
Merci encore pour vos billets toujours enrichissants, et vos mots, véritables burgaudines de la langue française.
A bientôt
Maia
Merci. Que cette fin d'année vous soit douce.
Bon Noël à tous...
Je suis arrivé par hasard céans. Je vous offre une petite historiette pour éclairer la vérité sur le Père Noël..
Jean-Philippe
Votre histoire est très sage. En fait le père Noël a détourné le commerce à son profit. Grâce au Noël de Théophraste vous connaitrez la véritable dimension économique de Noël.
Merci de m'avoir fait connaître Théophraste.
Mais il faut faire attention à ne pas trop faire attendre la Mère Noël, comme vous l'apprendra la petite histoire suivante :-)
au plaisir,
Jean-Philippe
Ces drôles. Ces trois nouvelles tournent autour du père Noël et de ses proches, et cherchent à connaître leur vie.
Un autre éclairage sur ce fameux Père Noël... Voici le dernier de la série sur le sujet, qui vous dévoilera qui est vraiment cet individu.
Bonne lecture et à bientôt...
Jean-Philippe