Le Garde-mots

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lundi 17 août 2009

Tautisme

Principe qui consiste à prendre la représentation de la réalité pour son expression. Par ce biais les médias se copient les uns les autres et cette répétition tend à nous faire croire qu'elle vaut preuve.  Le terme est à la fois un néologisme et un mot-valise, forgé à partir des mots tautologie et autisme (maladie de l’auto-enfermement communicationnel dans laquelle le patient n’éprouve pas le besoin de communiquer) par le professeur Lucien Sfez  [1]

[1]
- Lucien Sfez. Critique de la communication. Seuil, 1988.
- Lucien Sfez. La communication. Collection Que sais-je ? (PUF), chapitre III.

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jeudi 4 décembre 2008

Blog-notes


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lundi 10 septembre 2007

Cent questions sans réponse

Dali nu

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lundi 14 août 2006

La connerie a-t-elle une valeur marchande ?


Il n'y a pas de gros mots dans ce blog, enfin pas trop. J'en prononce comme tout le monde, mais je n'en écris pas car j'ai plutôt envie de pousser la langue française vers le haut ... Il n'en demeure pas moins que le mot connerie est un concept opératoire très pratique. Et puis il est dans le Trésor informatisé de la langue française, alors pourquoi s'en priver ?



CONNERIE, subst. fém. Fam., vulg. Bêtise. Dire, écrire, faire une connerie, des conneries. Où ai-je écrit que La Fontaine « rimait chichement », ou quelque connerie semblable? (GIDE, Journal, 1944, p. 273). Nous aussi nous avons fait des conneries à son âge (CENDRARS, Bourlinguer, 1948, p. 280) : « San-Antonio, te v'là encore parti pour gagner le canard. Quand tu restes dix minutes sans faire une connerie, tu te mets à racler le sol comme un taureau qui a repéré l'Ursula Andress des vaches... » SAN ANTONIO, J'ai bien l'honneur de vous buter, Paris, Fleuve Noir, 1971, p. 168. Prononc. : []. Étymol. et Hist. 1865 conn'ri' (Chanson de Mouchebœuf, manuscrit ds L. LARCHEY, Dict. hist., étymol. et anecdotique de l'arg. parisien, 1873, p. 101). Dér. de con*; suff. -erie*. Fréq. abs. littér. : 58.

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mardi 24 janvier 2006

Hubris


Chez les anciens Grecs, démesure, outrance dans le comportement, sentiment violent né de l'orgueil, et qui allait jusqu'au dépassement des limites. Il pouvait conduire à la faute majeure : l'offense envers les dieux. Synonyme : hybris.

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samedi 8 octobre 2005

Syllogisme


Argument composé de trois propositions, la majeure, la mineure et une conclusion qui se déduit nécessairement des deux premières. Exemple classique:

(a) Tous les hommes sont mortels.
(b) Socrate est un homme.
(c) Donc Socrate est mortel.

Un autre exemple?

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